Joël Mourand, armé de ses objectifs de 300 et 500 mm, est prêt à saisir tous les beaux moments de l’Engie Open 2023.
Des routes du Tour de France au Tarmac de l’aéroport de Lannion lors de la venue de la patrouille de France, en passant par les courts de tennis de l’Engie Open, Joël Mourand n’aime rien tant que les moments de partage que lui offrent ses passions.
Jeune retraité, l’homme a eu milles vies professionnelles et à l’heure de la retraite, il profite de son temps libre pour s’adonner à ses deux grandes passions : la moto et la photographie. « Cela fait un peu plus de cinq ans maintenant que j’ai rejoint l’Engie Open de Tennis féminin par le biais de François Quemper et Philippe Labrot », explique-t-il. « L’esprit familial et l’envie de partager des moments avec le public et les joueuses, mais aussi ma passion pour la photographie sportive, m’ont convaincu de m’investir bénévolement et gratuitement pour l’évènement », ajoute-t-il.
Des journées riches en émotions
Pendant dix jours, Joël Mourand va vivre des journées intenses entre prises de vues et sélections des photos qu’il offre aux joueuses et aux organisateurs. « Pendant les phases qualificatives, je dois me partager entre les deux courts. Pour ne pas gêner les joueuses dans leur jeu, je me cache derrière les bâches. Ce qui me vaut le surnom de photographe invisible quand elles découvrent les clichés que j’ai pu prendre », complète-t-il. « Pendant l’Engie Open, on vit des moments forts mais aussi des anecdotes. Un jour par exemple, la balle de service de la joueuse Julie Gervais, qui n’est pas présente cette année, s’est insérée dans mon objectif. J’ai beau essayer de ne pas me trouver dans l’axe des balles, je ne suis pas à l’abri d’en prendre une », conclut-il.
Pratique
Engie Open, complexe sportif de Kerabram, tous les jours dès 9 h, gratuit et ouvert à tous. Finale dimanche 26 février à 16 h.