François-René Guéret est le juge-arbitre du tournoi et travaille bien en amont pour sa bonne tenue.
La 18e édition de l’Engie Open nécessite une organisation importante qui repose sur les épaules des organisateurs et du juge-arbitre François-René Guéret.
Pouvez-vous vous présenter ?
Je suis un passionné de tennis, je joue et je travaille dans l’univers de la balle jaune.
Je suis bénévole sur le tournoi depuis 2007 et je suis devenu salarié du club perrosien en 2012 où je donne des cours aux jeunes.
Du côté du jeu, je suis actuellement classé 15/4.
J’apprécie de pouvoir associer ma passion et mon travail.
Quel est votre rôle sur le tournoi ?
Je suis le juge-arbitre du tournoi depuis la 7e édition après avoir été adjoint sur la 5e et la 6e édition.
Si nous vivons dix jours intenses lors du tournoi, mon travail commence bien en amont.
Anticipation est le maître mot. J’établis la programmation des matchs et les tableaux au moins un mois à l’avance pour que les joueuses puissent s’organiser.
Sauf changement de dernière minute, encore plus cette année, tout est calé.
Lors du tournoi, je veille au bon déroulement des rencontres et, si nécessaire, j’interviens en cas de litiges sur les courts.
Qu’apporte l’Engie Open au club ?
Le tournoi permet avant tout de faire connaître Perros-Guirec et le Tennis club perrosien.
Si les premières années, nous devions aller chercher les joueuses, elles sont devenues au fil du temps un véritable
vecteur de communication.
Cette année, entre la notoriété du tournoi et la baisse des possibilités de performer, nous avons été contraints
d’établir une liste d’attente.
Les premières féminines se sont inscrites en novembre.
Le tournoi, c’est enrichissant pour vous ?
Oui, à chaque fois, on peut échanger sur les parcours, découvrir des jeunes que l’on voit grandir, à l’image d’Aubane Droguet.
Elle était classée 0 lors de sa première venue et est actuellement n°26.
Ça me permet également d’enrichir mes cours.