La 14e édition de l’Open Engie qui se tiendra du 11 au 22 février a été officiellement lancé dans les salons de l’hotel AGAPA, partenaire majeur du tournoi le vendredi 20 janvier 2017, en présence des partenaires principaux.
Un tournoi d’envergure nationale voire internationale qui réunit des joueuses bien classées, sur les courts perrosiens. Fiona Gervais et Myrtille Georges sont d’ores et déjà annoncées et Clara Burel, pressentie.
Du 11 au 22 février, les courts de tennis de Kerabram vont vibrer pour la 14e édition de l’Open Engie. Un tournoi d’envergure nationale, voire internationale, qui réunit chaque année des joueuses très bien classées à l’ATP, sur les cours. L’accès est gratuit pour le public.
La fête du tennis féminin
Une belle fête du tennis qui s’inscrit entre deux autres tournois bretons et qui est largement plébiscitée sur les cours, tant l’accueil et la mobilisation des bénévoles est appréciée des participantes. Depuis plusieurs années, l’ère digitale est en marche et le tournoi Open Engie n’y échappe pas. La couverture médiatique par la presse quotidienne mais également les partages sur les réseaux sociaux, autour de cet événement sportif majeur, bénéficie sans nul doute à la notoriété de la cité des Hortensias et au-delà à la Bretagne, qui reste une terre où le sport tient une grande place.
Neuf joueuses numérotées
Partenaires, organisateurs et bénévoles en sont tous bien conscients et ont hâte d’être au 11 février pour commencer à vivre de belles émotions. Neuf joueuses classées sont d’ores et déjà inscrites, dont Fiona Gervais et Myrtille Georges (N°7 française), qui reviennent sur un tournoi qu’elles aiment tout particulièrement.
Les organisateurs espèrent également accueillir la jeune Clara Burel, espoir du tennis, qui a fait ses débuts dans le Trégor. Une belle affiche en perspective pour cet événement sportif qui devient, au fil des ans, un incontournable du circuit pour les joueuses et qui confirme, s’il en était besoin, que les animations proposées cette année seront indéniablement féminines.
Avec l’aimable concours de notre partenaire © Le Télégramme et photographe Laurent Toudic