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759_2020022617363458.jpgElixane Lechemia N°52 apprécie tout particulièrement l’Engie Open.

L’Engie Open a refermé ses portes ce mercredi soir après une finale de haute volée. À l’heure du bilan, les organisateurs se félicitent de cette 17e édition tout comme les joueuses qui y ont participé à l’image d’Elixane Lechemia, de Montrouge.

« Nous avons eu, une nouvelle fois, de très belles surprises. Nous avons découvert des jeunes filles de talent à l’image de la jeune Eleejah Inisan (11 ans), Zoé Leyval (16 ans) et Ninon Martinache, qui ont réalisé de très belles performances et qui promettent un bel avenir au tennis féminin », explique Philippe Labrot.

Ces beaux parcours sportifs confirment, s’il le fallait, que c’est un beau tremplin pour les jeunes joueuses. Ce n’est pas Elina Svitolina, qui est venue quand elle avait 16 ans sur le tournoi et qui est dorénavant n° 4, qui dirait le contraire. Il y a des jeunes qui se révèlent. C’est le but du tournoi de voir des joueuses en devenir pouvoir affronter aussi des joueuses numérotées.

Une organisation sans faille

Pour la petite histoire, même du côté des numérotées, le tournoi les touche tout particulièrement. « Ici, au moins, on n’est pas un numéro, on est accueillies ». Une satisfaction pour nous au niveau de l’organisation. Ce genre de réflexion prouve que le challenge est rempli et que l’esprit du tournoi, qui se passe dans la bonne humeur, est respecté.

Elixane Lechemia, qui vient pour la quatrième fois à l’Engie Open, partage son plaisir de venir à Perros-Guirec : « C’est une opportunité de se changer les idées sur un tournoi hors des circuits pros que nous fréquentons. L’ambiance est plus sympa et l’organisation est plus soigneuse que sur d’autres tournois ».

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