Un grand merci à notre partenaire RENAULT COTES D’ARMOR GARAGE à Perros Guirec dirigé par Jean-Marie Lopez (à droite sur la photo). Le partenariat du garage avec le Tennis Club de Perros-Guirec a débuté il y a fort longtemps. A l’époque, Michel Lopez était à la tête de l’entreprise perrosienne, avec l’aide de son épouse Marie-José. En 2013, Michel et Marie-José ont décidé de lever le pied, et c’est naturellement que leur fils Jean-Marie prend la suite de son père à la tête du garage Renault, situé route de Pleumeur-Bodou. Comme ses parents, il s’appuie également sur l’aide de son épouse. Entreprise familiale, c’est tout naturellement que la confiance accordée au TCMP s’est transmise.

Supporter les joueuses de tennis qui disputent, durant toute la semaine, l’Engie Open sur les courts de Kerabram, c’est bien. Mais un petit détour s’impose par la buvette, entre deux sets ou avant les matches, pour croiser Jacqueline et déguster ses délicieux gâteaux. L’Engie Open a ouvert ses portes, samedi, au complexe sportif de Kerabram. Une belle parenthèse pour les joueuses de tennis qui prennent beaucoup de plaisirs sur les courts et en dehors. Une bonne trentaine de bénévoles œuvrent en coulisses pour faire de ce rendez-vous sportif un moment à part. Parmi eux, Jacqueline Couédic, une incontournable du tournoi qui, en plus, régale les papilles des gourmands et des gourmets durant dix jours. Sur les courts et en coulisses Côté terrain, la rencontre de Jacqueline avec l’univers tennistique se fait en 1979, suite à un cours d’initiation avec Didier Le Flem sur le parquet du gymnase Yves-Le Jannou. Malheureusement à l’époque, il n’y a pas de place en équipe pour jouer à Perros-Guirec. Après un an sans jouer, Jacqueline a des fourmis dans les jambes et décide de rejoindre le Tennis club lannionnais, qui vient de prendre possession des tout nouveaux courts de Park Nevez. Après quelques années passées

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Tête de série n°1, n°8 française, habituée du Tournoi ENGIE de Perros-Guirec, Myrtille Georges était toute désignée pour succéder à Irina Ramialison, mercredi 20 février. Mais sortie dès le 1er tour la semaine dernière à Grenoble, la Granvillaise a vite enchaîné avec un 60 000 dollars à Shrewbury (Grande-Bretagne) pour récupérer des points ITF. Cette défection ouvre le tableau aux trois assimilées, les Slovaques Michaela Honcova (n° 10) 4 titres ITF en simple et 8 en double, présente sur le tournoi en 2014, Kristina Kucova (n°11 et finaliste à Perros-Guirec en 2012, joueuse à deux mains) qui vient de « perfer » chez elle à l’ITF de Trnava ne s’inclinant qu’en finale devant la Tchèque Lucie Hradecka, et l’Ukrainienne Anastasya Vasylyeva (n°19) nouvelle venue dans la ville en Roz. Les meilleures chances françaises reposeront sur Julie Gervais (n° 23), demi-finaliste malheureuse il y a deux ans mais au meilleur de sa forme actuellement. Le tableau est complété par Mallaurie Noël (n°27) demi-finaliste en 2017 et la grande espoir(e) algérienne Inès Ibbou (n°30). Notons également la présence de Lucie Wargnier (N°47) entraînée cette année par une certaine … Marion Bartoli. Suivront Théo Gravouil (n°49) battue l’an dernier en demi-finale par la future lauréate et Clémence

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La 16e édition de l’Open de tennis féminin Engie est lancée à Perros-Guirec. Lancement officiel de la 16ème édition de l’ENGIE OPEN 2019, organisé par le Tennis Club Municipal Perrosien en collaboration avec la ville, avec tous les partenaires à l’AGAPA. C’est toujours l’occasion de mettre en valeur le professionnalisme et la qualité de l’accueil de l’équipe organisatrice autour de Philippe LABROT et des dirigeants du Tennis Club Municipal Perrosien. Le tournoi, exclusivement dédié à la gent féminine, s’inscrit dans les Circuits nationaux des grands tournois et permet aux jeunes espoirs d’éclore et aux joueuses numérotées de poursuivre leur ascension. Marqueur fort du tournoi, l’accueil réservé aux joueuses mais également l’équité quel que soit leur niveau, font de l’Open Engie un rendez-vous incontournable du circuit. « L’organisation de tels évènements n’est possible qu’avec des partenaires. Qu’ils soient institutionnels ou privés, leur soutien est indispensable comme l’investissement des bénévoles, sans qui rien ne serait possible », a précisé Philippe Labrot, le directeur du tournoi. Un tournoi qui débutera samedi avec les phases qualificatives au tableau final. La qualité du plateau de 2019 démontre une nouvelle fois le savoir faire (10 joueuses numérotées et 8 “-15”) mais aussi avec le nombre grandissant de partenaires.

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Irina Ramialison N°24 française, coup double en Bretagne. Gagnante du 15ème ENGIE OPEN 2018 de Perros-Guirec contre Stéphanie Foretz N°40 au bout d’une finale de toute beauté (6/4 4/6 6/4), Irina a récidivé au tournoi de Vannes Ménimur contre Diana Marcinkevica N°12 (6/4 6/2) qui avait perdu en 1/2 finale à Perros-Guirec contre Stéphanie Foretz.

Irina Ramialison à l’usure Irina Ramialison (numérotée 24) s’est imposée en trois sets face à Stéphanie Foretz (n° 40). Au terme d’une finale très accrochée, Irina Ramialison a remporté le tournoi Engie de Perros-Guirec, face à l’expérimentée Stéphanie Foretz (6-4, 4-6, 6-4). « Je suis éclatée ! » Sourire aux lèvres malgré la défaite, Stéphanie Foretz a tout donné. Le matin d’abord, en écartant Diana Marcinkevica en trois sets (4-6, 7-6, 1-6). « J’ai super bien joué contre elle et le public présent à la finale était peut-être déjà là », s’amuse-t-elle. Car le soir, lors de la grande explication face à Irina Ramialison, elle avait le public dans la poche. « Je l’ai ressenti et j’ai essayé de prendre toute leur force ». Le premier set, composé de longs échanges de qualité, a été accroché. Mais il a tourné en faveur de son adversaire, de dix ans sa cadette (6-4). « Je pensais que j’allais m’écrouler au second set », confie Stéphanie Foretz, 36 ans et 40e joueuse française ». C’est tout le contraire. « Elle a mieux tenu que moi sur ce set, concède Irina Ramialison, qui, plus tôt, s’était débarrassée de Théo Gravouil (6-4, 6-3). Il y

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Une finale de feu pour l’Open Engie Irina Ramialison (N24) et Stéphanie Foretz (N40) Un public nombreux a fait le déplacement, hier soir, pour la finale du tournoi féminin Open Engie. La joueuse Stéphanie Foretz était opposée à Irina Ramialison, qui a remporté le tournoi, en trois sets, 6/4, 4/6, 6/4. La finale du tournoi Open Engie sur les terrains couverts de Kerabram opposait, ce mercredi soir, Stéphanie Foretz, nº40 française à Irina Ramialison, nº24 française, déjà finaliste l’an passé. « C’est une finale surprise puisque Stéphanie Foretz, 36 ans (la doyenne de cette 15e édition) n’a jamais été finaliste ici et que l’on ne l’attendait pas forcément à un tel niveau. Ça reste une finale très intéressante et le public est au rendez-vous. Il y a une ambiance de feu et beaucoup de fair-play chez les joueuses », se réjouit François-René Guéret, juge arbitre. Participation record Une très belle réussite pour les organisateurs et toute l’équipe des bénévoles. Les 200 à 300 spectateurs attendus sont bien présents. « On ne peut guère faire plus de toute façon. On est très satisfaits », précise le juge-arbitre. « C’est un succès globalement équivalent à l’édition précédente en termes de fréquentation sur

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Dans un quart de finale haletant, hier, Irina Ramialison a dû s’employer en trois sets pour se défaire d’une Kelia Le Bihan pleine de ressources. Hier, le match entre Irina Ramialison et Kelia Le Bihan (4-6, 6-4, 6-3) a rassemblé près d’une centaine de spectateurs dans les tribunes du complexe de Kerabram. Comme l’an passé, Irina Ramialison figure dans le carré final de l’Engie Open de Perros-Guirec. Pourtant, cette qualification n’aura pas été de tout repos pour la 24ème joueuse française. Hier après-midi, sur le court de Kerabram, Irina Ramialison a usé de son expérience pour s’imposer face à la jeune Kelia Le Bihan. Une entame difficile Irina Ramialison s’est fait surprendre d’entrée de jeu par les coups de raquette péchés et le jeu plein d’audace de Kelia Le Bihan (-4/6) qui n’en avait que faire de la différence de classement. “Le 1er set se goupille très mal. Au début, elle m’a fait beaucoup courir.” , concède la joueuse numérotée. Menée trois jeux à zéro d’entrée, Irina Ramialison prend vite la mesure de son adversaire qui peut compter sur un service redoutable. Même en difficulté, cette dernière fait sensation en effaçant deux balles de break, avec trois aces consécutifs pour

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