L’Engie Open, c’est aussi l’occasion de faire découvrir le tennis à un public féminin curieux de s’y essayer. C’est l’optique de l’animation mise en place ce mercredi après-midi, avant la finale. Une dizaine de jeunes femmes ont répondu présentes et découvrent, sous la houlette de Emilie Martin, la prise de la raquette, les limites du terrain et la joie des premiers échanges. Interview de Emilie Martin, professeur de tennis au TCMP 1- Qu’écoutes-tu en ce moment ? Je viens de me mettre l’appli spotify donc j’écoute des playlists toutes faites avec pas mal de hits du moment. Curieux parce que d’habitude je n’écoute pas ce genre de musique en dehors des soirées. 2- La personnalité que tu rêverais de rencontrer ? Ed Sheeran, le musicien qui me fait rêver par sa créativité et son style. Je l’écoute depuis ses débuts et j’adore jouer ses morceaux à la guitare. 3- Ton livre de chevet ? La fille du train (Paula Hawkins) 4- Ta plus grande fierté ? Mon fils de 2 ans, Léo bien sûr. 5- Ton plus grand regret ? Je regrette de ne pas avoir fait de sport en compétition quand j’étais jeune, j’aurais aimé tenter une carrière

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A quelques jours de la fin du tournoi, les organisateurs ont invités les partenaires de l’Engie Open à un cocktail au Kasino de Perros-Guirec. Étaient également conviés les bénévoles et les joueuses. Ce fut l’occasion de remercier l’ensemble des participants, partenaires, bénévoles et joueuses, sans qui rien ne serait possible. Philippe Labrot, co-directeur du tournoi Erven Léon, maire de Perros-Guirec Pierre Journé, directeur du Kasino

Stéphanie Foretz en forme Stéphanie Foretz (numérotée 40) s’est qualifiée pour les demi-finales. Avec l’entrée en lice des joueuses numérotées, le niveau du tournoi Engie de Perros-Guirec a monté de niveau, avec des quarts de finale très équilibrés. Le premier a été remporté par Théo Gravouil (Les Ulis, n° 29) face à la tête de série du tournoi, Ganna Poznikhirenko (Stade Clermontois), 2-6, 6-4, 6-3. Dans le second match, la révélation du tournoi, Kélia Le Bihan (TC Thiais, 4/6) a offert une très belle opposition à la finaliste de l’an passé, Irina Ramialison (Entente Yonnaise, n°24). Après avoir perdu le premier set 6-3, Irina Ramialison a fait parler son expérience, pour s’imposer dans les deux sets suivants 6-3, 6-4. Le troisième match de la soirée a été remporté par Stéphanie Foretz (TC Paris, n°40) face à Elixiane Lechemia (Dardilly Champagne n°18). « Physiquement c’est plus dur » « J’ai eu du mal à rentrer dans le match. Dans le premier set, j’ai eu l’opportunité de faire le break, en menant 40-0 sur le service d’Elixiane, mais je n’ai pas su en profiter. Ensuite, je me suis concentré sur le second que je remporte 6-0.  J’entame bien le troisième set, en

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La Bretagne tombe avec Cassandre Thébault. « Je pense qu’elle s’est moins précipitée, contrairement à moi. Ça s’est joué là-dessus. »  Cassandre Thébault Photo Ronan Masson Engie Open de Perros-Guirec Hier matin, sur les courts de Kerabram, les seizièmes de finale ont eu raison de la dernière bretonne engagée dans le tournoi. « On arrive à un stade où les erreurs se payent cash. » Les mots de Cassandre Thébault (-2/6) étaient lourds de sens, hier matin, après sa défaite face à Alice Robbe (-15) en 16èmes de finale de l’Engie Ope, de Perros-Guirec. Avec elle, la Bretagne a perdu sa dernière porte-drapeau dans le tournoi. Alice Robbe, arbitre Joël Fabas, Cassandre Thébault Un bilan honorable mais difficile à digérer. Alors qu’elle s’était hissée dans le tableau final pour la première fois, Cassandre Thébault s’est inclinée assez largement (3-6, 1-6) dans un match pas si déséquilibré, au vu de l’écart de classement avec la joueuse normande (Mondeville). Cette dernière a largement usé d’un retour de service fulgurant pour déborder la malouine qui, pour sa part, a tardé à régler ses premières balles. « J’ai eu du mal sur mes jeux de service contrairement à hier, a concédé Cassandre à la sortie du court. Je pense

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Jusqu’à mercredi, les championnes participent au tournoi. Dans les coulisses, Jacqueline Couëdic est pâtissière et Goulwen Le Léannec, ramasseur de balles. Rencontre Jacqueline vient de livrer ses macarons au chocolat. Ce jour-là, il y a aussi 5 autres parfums. Le vendeur, au bar du club, s’exclame : « Certains ne viennent au tournoi que pour les macarons de Jacqueline ! » Une pâte et une personnalité incontournable. Jacqueline Couëdic, ancienne ingénieur à Alcatel, sait occuper son temps libre. Le tennis d’abord : elle y joue depuis 1979 et elle va bientôt participer aux interligues des plus de 65 ans en demi-finale. Elle participe aussi activement aux activités du TCMP, dont elle a occupé et occupe encore différents postes (vice-présidente, juge-arbitre). Aujourd’hui, elle assiste François-René Guéret, le juge-arbitre de l’Engie Open féminin. L’été, elle organise le tournoi de Perros-Guirec et fait le calendrier des tournois. Elle a, pour tout cet engagement, été récompensée d’une médaille de bronze « sport et jeunesse ». Tout cela ne suffit pas à combler ses journées : « Je suis aussi présidente de la chorale des Baladins des Sept Iles. J’aime aussi la pêche à pied ; je m’en vais sur l’estran et je ramasse des coquillages, des huîtres voire des ormeaux », explique-t-elle dans un

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Kélia Le Bihan, la bonne surprise Kélia Le Bihan (4/6), qui revenait de blessure, a sorti la numérotée 53, Fiona Gervais, en trois sets.Avec l’entrée en lice des joueuses numérotées, lundi en soirée, Kélia Le Bihan (TC Thiais, 4/6) a créé la sensation en sortant Gervais Fiona (Thionville, n° 53), à l’issue d’un match très disputé (6-7, 6-3, 6-4). Kélia Le Bihan a des origines bretonnes du côté de son grand-père. « Mon grand-père est de Douarnenez, mais je n’ai jamais habité en Bretagne. J’y viens régulièrement, car mes parents ont une maison à Douarnenez. Ça fait du bien de gagner, d’autant plus que je sors de blessure et que je n’étais pas au mieux ces dernières semaines. Je connaissais mon adversaire que de nom et je savais qu’elle était très offensive, qu’elle frappait fort », explique Kélia Le Bihan. « Je souhaite aller le plus loin possible » Après un premier set perdu au tie-break, Kélia a changé de tactique, et cela a été payant. « J’avais déjà battu des joueuses numérotées, mais c’est la première fois que je m’impose face à une Française. Ce mardi, je joue contre Irina Ramalison, adversaire que je n’ai jamais rencontré. Mon objectif

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Dédicaces et finale en vue à l’Open Engie Débuté le 24 février, l’Open Engie s’apprête à vivre son dénouement avec, en vue, la finale qui aura lieu ce mercredi, à 18 h. Ce lundi, le spectacle était déjà au rendez-vous sur les courts de Kerabram avec le match opposant Alice Robbe (ci-dessus) et Cassandre Thébault mais aussi l’entrée en lice, en milieu d’après-midi, des joueuses numérotées comme Irina Ramialison ou Ganna Poznikhirenko. Ce mardi, le public pourra voir jouer Diana Marcinkevica, Elixiane Lechemia, Clémence Fayol et Stéphanie Foretz. À noter aussi qu’à 11 h 30, plusieurs joueuses seront disponibles pour une séance de dédicaces. Entrée gratuite.

Les numérotées entrent en scène. Kelia Le Bihan Kelia Le Bihan (-4/6, T. C Thiais) s’est qualifiée pour les 8èmes de finale, où elle rencontre, avec l’entrée des joueuses numérotées, Fiona Gervais (N53). La quinzième édition du tournoi Engie Open de Perros-Guirec a débuté le samedi 24 février, et la finale se jouera mercredi. Les joueuses numérotées, neuf en tout, font leur entrée ce lundi sur les courts de Kerabram. Au programme ce lundi, à 16 h 30, Kelia Le Bihan jouera donc contre Fiona Gervais. À 18 h, Maud Vigne (-4/6) jouera contre Théo Gravouil (n° 29). « Une rampe de lancement » « Ce tournoi homologué CNGT est une rampe de lancement pour les futures championnes. Elina Svitolina, qui est aujourd’hui numéro quatre mondiale, y a participé. La joueuse locale Clara Burel, finaliste du dernier Open d’Australie junior était espérée, mais elle vient de rentrer dans le tableau final d’un tournoi à 15.000 $ en Tunisie », a souligné François-René Guéret, le juge-arbitre du tournoi. Mardi verra l’entrée en lice des autres joueuses numérotées, Ganna Poznikirenko (n°11), Diana Marcinkévica (n° 12), Elixiane Lechemia (n° 18), Irina Ramialisson (n°24), Clémence Fayol (n° 37) et Stéphanie Foretz (n° 40). ©

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Jacqueline : La bénévole tout terrain. Elle débute le tennis en 1979 suite à un cours d’initiation avec Didier le Flem. Le gymnase de Kerabram n’existe pas encore et le tennis a lieu alors sur le parquet d’Yves le Jannou. Malheureusement à l’époque, il n’y a pas de place en équipe. Donc Jacqueline après un an sans jouer migre vers le TCL qui vient de recevoir les tout nouveaux cours de Park Nevez. A la suite du départ de l’entraîneur de l’époque et aussi pour être plus proche de la maison, Jacqueline retourne au TCMP pour ne plus le quitter. Sportivement, Jacqueline obtint rapidement le classement de 30/1 puis monta régulièrement jusqu’à atteindre le classement de 15/2. Victorieuse de nombreux tournoi d’été ainsi qu’en championnat individuel en vétéran, elle est encore 15/5 cette année. Elle peut espérer être en route pour remonter à 15/4, ayant déjà réussi une belle performance à 15/2 en Régionale 2. « Perfer à 3 classements au dessus, çà m’est rarement arrivé. Je me rappelle juste une fois où, pour dépanner en Pré-nationale, je battis une 15 alors que moi-même je n’étais que 15/3 » Coté coulisses, Jacqueline est également très active. Lors de son passage au TCL elle

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L’Engie Open peut compter sur son arbitre! Dans sa tour de contrôle, François-René Guéret a l’œil à tout : il prépare les tableaux des matchs, veille au bon déroulement des rencontres… Les finales du tournoi Engie Open débutent lundi. À 37 ans, François-René Guéret, juge arbitre et salarié du tennis-club perrosien, en est l’organisateur depuis six ans. Entretien avec François-René Guéret, juge arbitre. Sur le tournoi, quel est votre rôle ? Je suis arbitre principal du tournoi depuis six ans. Avec l’ensemble des bénévoles, nous travaillons depuis six mois à l’organisation de ce tournoi. Je suis chargé d’établir les tableaux en fonction des classements des joueuses, d’assurer la programmation du tournoi en appelant les inscrites pour les faire jouer en fonction de leurs disponibilités et en essayant de respecter leurs désirs. Je veille au bon déroulement des rencontres et, si nécessaire, j’interviens en cas de litiges. Mais je ne suis pas sur le court dans la chaise d’arbitre. Quelle est votre histoire avec le club ? Je suis au tennis-club municipal perrosien (TCMP) depuis l’âge de 9 ans, je joue en équipe et en individuel. Je suis entré au conseil d’administration du club, il y a une dizaine d’années. Depuis

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