L’Engie Open de Perros-Guirec s’est achevée, ce mercredi soir, par la victoire éclair de Léa Tholey. « C’est une belle édition avec de belles surprises du côté des joueuses », a commenté le codirecteur du tournoi féminin, Philippe Labrot Ce mercredi soir, la 21e édition de l’Engie Open de Perros-Guirec s’est refermée après une dizaine de jours autour de la petite balle jaune. C’est Léa Tholey, d’Eaubonne, qui a remporté le tournoi féminin en battant en moins d’une heure Mallaurie Noël (6/2 – 6/1). Le codirecteur Philippe Labrot est satisfait de cette nouvelle édition. « C’est une belle édition avec de belles surprises du côté des joueuses. Notamment chez les plus jeunes qui ont réussi à battre des numérotées, déclare-t-il. Nous sommes également content des animations que nous avons pu mettre en place autour du tournoi et d’avoir pu offrir des espaces d’expression sur des sujets qui nous concernent tous ». Des animations et une conférence en prime Encore une fois, les organisateurs avaient concocté un très beau programme avec du jeu bien sûr mais aussi des animations. Ce mercredi, Emmanuel Szendroi et Oriane Masson ont entraîné les ramasseurs de balles du tournoi dans un escape game intitulé « J’apprends

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Florian Trinquart, entraîneur du Tennis-Club Municipal de Perros-Guirec se met aux services des joueuses de l’Engie Open sans pour autant oublier son rôle au sein du club. Quel est votre rôle sur l’Engie Open ? Je suis partenaire d’entraînement, tout comme Baptiste Jannier. Nous nous mettons à la disposition des joueuses pour les échauffer avant les matchs. Nous intervenons principalement auprès des négatives car les numérotés tapent en général entre elles. Qu’est-ce que cela vous apporte ? C’est très enrichissant. Cette année, j’ai discuté avec plusieurs d’entre elles qui envisagent d’enseigner. Ça permet d’échanger sur notre métier mais aussi sur les programmes physiques et techniques qu’elles suivent. L’observation des matchs est aussi importante, cela permet d’affiner ensuite mon enseignement et pour les plus jeunes ça leur donne envie de progresser. Vous êtes plusieurs entraîneurs au sein du club ? Oui, nous sommes trois pour encadrer les 180 licenciés. Que ce soit pour ceux qui pratiquent le tennis en loisir ou en compétion. Je suis celui qui passe le plus temps sur les cours avec 30 h de présence, Stéphane Goger qui est comme moi diplômé d’état passe environ 15 h sur les courts et François-René Guéret assistant moniteur et juge-arbitre

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Les échanges s’accélèrent sur les courts de tennis de Kerabram, à Perros-Guirec, dans le cadre de l’Engie Open. À l’aube de l’entrée en lice des joueuses numérotées, les arbitres rejoignent les chaises et bientôt les lignes. Entretien avec Olivier Nordez, arbitre depuis 17 ans et depuis quelques années, sur le tournoi. Olivier Nordez, quel est votre parcours dans le tennis ? J’ai d’abord été joueur, j’étais classé 15/1. Je suis devenu arbitre A2 d’abord par passion du jeu. C’est une passion au service du jeu, des joueuses et des organisateurs. C’est aussi le moyen de côtoyer le haut niveau sans jouer en tant qu’arbitre régional. Je suis qualifié pour arbitrer toutes les compétitions individuelles ou par équipes à l’exclusion des Championnats de France interclubs de Première Division. Vous arbitrez beaucoup de tournois ? Sur une année, je suis 90 jours en tournoi mais certains en font plus. J’arbitre essentiellement sur le Grand Ouest, je ne veux pas trop m’éloigner de la Bretagne. J’arbitre non seulement des tournois féminins mais aussi masculins et de tennis fauteuil. Vous êtes un maillon essentiel des tournois ? Oui, je suis formateur pour les arbitres A2, les arbitres de chaises sont essentiels mais à partir

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L’Engie Open, à Perros-Guirec, peut compter sur ses bénévoles dont la famille Daré. Noémie, la petite dernière, trépigne d’impatience ; quant à Katell, classée 15/3, elle profite pleinement de son contact avec les joueuses de haut niveau. Sans les bénévoles, l’Engie Open ne pourrait se tenir et et conserver sa réputation en matière d’accueil. La famille Daré l’a bien compris et se mobilise depuis plusieurs années. Noémie, 7 ans, doit encore attendre Si Noémie, la plus jeune des filles de Marianne et Lionel, âgée de 7 ans, ne peut pas encore y participer, elle est bien présente. « Elle trépigne et voudrait bien aider mais il va falloir qu’elle attende encore un peu. Pour ma part, je suis à l’accueil depuis trois ans environ, Lionel a d’abord été au bar et cette année, il a rejoint l’équipe des voituriers. Gwénola notre seconde fille, est ramasseuse de balles. Katell a débuté comme ramasseuse de balles puis elle a formé ses successeurs. Cette année, elle m’a rejoint à l’accueil des joueuses », partage la maman, Marianne Daré. Katell à l’équipe d’accueil La jeune fille s’investit sans compter en tant que joueuse d’abord où elle est classée 15/3, elle a d’ailleurs participé aux phases qualificatives.

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Lisa Germain 2/6 (st-barth tennis) qui a battu ce dimanche matin Manoly Rengeard (mondeville uso) 0 Pour la 21e édition de l’Open de Perros-Guirec (jusqu’au 19 février), les organisateurs ont de nouveau pu concocter un joli tableau avec notamment Audrey Albié (343e) et Sada Nahimana (328e).Malgré quelques soucis techniques, tout est rentré dans l’ordre et le tournoi a pu démarrer dans de bonnes conditions. Le tableau final, qui démarre lundi, s’annonce alléchant.Pour François-René Guéret, juge arbitre et l’une des chevilles ouvrières de cet évènement, « avec le plateau présent, nous allons assister à de très beaux matchs. » Certes la gagnante de l’an dernier, la Canadienne Victoria Mboko ne sera pasprésente mais son adversaire en final, Gaëlle Desperrier (N43 Stade Clermontois TC) viendra prendre sa revanche et tenter, cette fois, de décrocher la timbale.Clémence Lesdos sera également de la partie.Ce ne sera pas chose aisée avec la présence d’Audrey Albié (N25 TC Tremblay) qui sera la tête de série n° 1. Les spectateurs pourront, également, voir une habituée des courts perrosiens, Mallaurie Noël (N33 La Roche TEY), gagnante en 2023. Elle retrouvera sa partenaire de club Théo Gravouil (N46) qui a, elle aussi, déjà remporté cet open. Avec une telle pléiade d’anciennes gagnantes, finalistes ou encore

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L’association Rebond, présidée par Angélique Cauchy, ancienne joueuse de tennis de haut niveau, animera une conférence sur les violences faites aux enfants dans le sport dans le cadre de l’Engie Open. Yuna Peran, l’animatrice de la conférence nous explique la genèse de Rebond et ses objectifs. « Angélique Cauchy, ancienne joueuse de tennis de haut niveau et trois autres victimes d’un même entraîneur ont voulu s’engager pour protéger l’enfance et les mineurs dans le milieu sportif. Nous nous appuyons sur les Engie Open car il y en a partout en France mais nous nous adressons à tous les sports. Notre objectif premier est que les enfants puissent pratiquer leur discipline en toute sécurité. » Yuna Peran sera la porte-parole de l’association Rebond et s’adressera à tous les acteurs du monde sportif (Elsa Anguis) Un label créé La conférence reviendra sur les différents types de violences qu’elles soient psychologiques ou sexuelles, dans quel cadre elles se produisent, sur l’emprise qu’un entraîneur ou un adulte peut avoir sur enfant mais aussi sur les signaux faibles qui peuvent amener les parents à s’interroger comment on accompagne, qu’est ce qu’il faut dire et ne pas dire. « Je vais donner des outils y compris

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L’Engie Open a débuté samedi par les phases qualificatives. Les matchs se succèdent sur les courts de Kerabram, tout comme le beau jeu. À une semaine de la finale, les participantes se rapprochent balle après balle du tableau final. Mercredi matin, ce sont deux pensionnaires du Tennis club municipal de Perros (TCMP) qui s’affrontaient. Eloane Gicquel a déjà réalisé un beau parcours en battant une joueuse mieux classée et espérait l’emporter sur son amie Katell Doré. Des joueuses fidèles au tournoi Les joueuses numérotées entreront progressivement dans le tableau de l’Engie Open, qui promet d’être riche. Le tournoi perrosien est un incontournable du circuit national des grands tournois (CNGT) qui s’inscrit cette année dans le challenge des grands tournois bretons. Ce challenge a pour objectif de fidéliser les joueurs de haut niveau (classés -2/6 à numérotés), qui doivent participer à au moins quatre tournois pour bénéficier d’une dotation s’ajoutant aux prix remportés lors des tournois. « Nous avons adhéré au challenge par solidarité car ici, à Perros-Guirec, nous n’avons aucun mal à fidéliser les joueuses et notamment les numérotées », rappelait Philippe Labrot, codirecteur de l’Engie Open. De nombreuses joueuses numérotées sont déjà passées par le tournoi et y reviennent

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Plusieurs joueuses numérotées seront présentes à l’Engie Open qui démarre cesamedi 8 février au complexe sportif de Kerabram, à Perros-Guirec. Qui succéderaà la Canadienne, gagnante de la 20e édition ? La 21e édition de l’Engie Open est lancée à Perros-Guirec. Organisateurs, éluset partenaires étaient réunis ce mercredi dans les salons de l’Agapa pour lelancement de cette nouvelle édition. « Qui pour succéder à Victoria Mboko ?, alancé Philippe Labrot, le co-directeur. La jeune Canadienne qui a remportél’édition des 20 ans continue sa route sur le circuit professionnel ». Plusieurs joueuses numérotées sont d’ores et déjà inscrites et sont loin d’êtredes inconnues du tournoi perrosien. Les amoureux du tennis pourront ainsiretrouver Léa Tholey, Gaëlle Desperrier, finaliste l’an dernier, Pauline Payet, Audrey Albiéou encore Théo Gravouil. Le tournoi est également l’occasion de mettre en lumière les bénévoles quipermettent la tenue d’un tel évènement mais aussi le développement de lapratique du tennis et des activités annexes. Une conférence sur la violence dans le sport Engie, partenaire majeur de l’évènement, a souhaité aller plus loin, comme l’aexpliqué Sébastien Ramos : « Nous avons la volonté d’offrir aux espoirsfrançaises des circuits de qualité tout en animant la vie socio-économique.Cette année, nous nous associons à l’association

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Un Challenge des Grands Tournois Bretons 2025 – catégorie CNGT – ENGIE OPEN PERROS-GUIREC 2ème étape Les tournois CNGT, ouverts aux amateurs et aux pros, séduisent les amoureux de tennis mais n’attirent plus les meilleurs, de quoi inviter la Ligue de Bretagne à repenser tout un fonctionnement. C’est un sigle que l’on retrouve sur huit tournois de tennis en Bretagne : « CNGT » pour Circuit National des Grands tournois. Encadrée par la Fédération Française de Tennis, c’est la plus haute compétition qu’un club puisse organiser et le premier échelon des tournois professionnels. Les premiers matches se font entre amateurs, dont les meilleurs sont rejoints dans le tableau final par des Français classés (dans le Top 100 national chez les hommes, Top 60 chez les femmes). En mutualisant leurs forces, un Challenge des Grands Tournois Bretons 2025 voit ainsi le jour. Il récompensera les joueuses et joueurs de haut niveau qui effectueront les meilleurs parcours dans les tournois CNGT bretons. Il est ouvert aux joueuses et joueurs de -2/6 à numéroté(e)s, qui doivent participer à au moins 4 tournois du Challenge des Grands Tournois Bretons, avec prise en compte des 4 meilleurs résultats. Voir le règlement dans le dossier de

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