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À Perros-Guirec, les codirecteurs de l’Engie Open ont vécu une finale extraordinaire

Laurent Frot et Philippe Labrot, les codirecteurs de l’Engie Open, sont revenus sur la finale du tournoi féminin à Perros-Guirec. Ils ont rappelé qu’il était un tremplin pour de jeunes joueuses. Laurent Frot et Philippe Labrot (troisième et quatrième à partir de la gauche) attendent la 21e édition de l’Engie Open avec impatience. Laurent Frot et Philippe Labrot, les codirecteurs de l’Engie Open à Perros-Guirec, avaient le sourire à l’issue de la finale du tournoi mercredi 6 mars. « Merci aux bénévoles y compris aux nouveaux, aux ramasseurs de balles, au corps arbitral mais aussi à tous nos partenaires sans qui rien ne serait possible. Je suis particulièrement fier de la passion que tous mettent dans cet évènement qui nous a offert un tableau final extraordinaire », a déclaré Philippe Labrot à l’heure du bilan. « Montrer du haut niveau gratuitement » Laurent Frot partageait également sa joie « d’avoir vu de jeunes joueuses affronter des joueuses confirmées. C’est totalement ce que l’on souhaite sur notre tournoi. Permettre aux plus jeunes de s’aguerrir et aux plus aguerries de poursuivre leur carrière dans le tennis tout en prenant du plaisir. Autre point essentiel pour nous montrer du haut niveau autour d’un évènement

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Victoria Mboko s’adjuge le tournoi CNGT de Perros-Guirec en s’imposant face à Gaëlle Desperrier

Par Simon Binagot Photo Alain Auffret Avec une belle maîtrise, Victoria Mboko a remporté le tournoi de Perros-Guirec en deux sets (6-3, 6-3) face à la Française, Gaëlle Desperrier. Une victoire qui lance la saison de la pépite canadienne. Malgré ses 17 ans, Victoria Mboko a déjà tout d’une grande. En s’imposant en deux sets (6-3, 6-3) face à Gaëlle Desperrier lors de la finale du tournoi CNGT de Perros-Guirec, la Canadienne est devenue la plus jeune lauréate du tournoi costarmoricain. Pourtant, en arrivant sur les côtes bretonnes, la joueuse ne pensait pas figurer aussi bien dans le tournoi. « C’était ma première expérience en France, c’était incroyable », explique la tenniswoman déjà classée 383e au classement WTA, « j’aime comment le public suit les matchs et j’aime aussi le public français ». Premier tournoi de l’année, première victoire Son objectif en venant à Perros-Guirec n’était pas la victoire finale mais retrouver ses sensations après une longue absence. « Elle revient de blessure – déchirure du tendon rotulien – et a fait toute une période de rééducation et réathlétisation depuis quelques mois. C’était son premier tournoi. Elle a fait de bons matchs et l’objectif était de voir si elle pouvait

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À Perros-Guirec, Pauline Parmentier partage sa vision du tennis féminin

Pauline Parmentier, marraine de L’Engie Open, pose un regard sur le tennis et sur le tennis féminin en particulier. Quel regard portez-vous sur votre carrière ? Un regard très positif, j’ai adoré. J’ai vécu pleinement et tout à fond. J’ai gagné la Fed cup avec l’équipe de France, mais mon top moment restera mon huitièmes de finale à Roland Garros, devant ma famille, mes amis et le staff. Que conseillez-vous aux clubs pour attirer plus de jeunes filles ? Elles s’inscrivent dans les clubs, le problème est plus de les fidéliser, de les faire rester. Depuis deux ans, elles sont plus nombreuses, plusieurs choses sont tentées au niveau de la fédération comme adapter les balles. L’accueil est également hyper important, tout comme l’enseignant ou encore la vie du club. Quand j’étais jeune, je faisais même mes devoirs au club. Je me sentais bien. Pourquoi l’Engie open est important ? Les jeunes s’identifient, d’où l’importance de mettre en lumière les tournois et plus particulièrement les tournois de tennis féminin. Les tournois CNGT permettent à certaines de toucher du doigt le tennis professionnel. Certaines qui tournent uniquement sur ce circuit peuvent gagner leur vie, mais cela veut dire participer aux tournois toutes

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Pauline Parmentier : « Beaucoup de joueuses aimeraient être Françaises »

Marraine de la vingtième édition du tournoi CNGT de Perros-Guirec, Pauline Parmentier s’est exprimée sur son rôle au sein de la FFT. Et sur sa vision du tennis français féminin. Depuis l’arrêt de votre carrière, vous occupez un poste au sein de la Fédération Française de tennis, en quoi consiste-t-il ? Je coordonne le projet des jeunes filles pour devenir joueuse professionnelle. Cela tourne autour de la scolarité, de la programmation des tournois, de la structuration qu’on met en place pour elles. C’est un travail au quotidien. Je me déplace sur des tournois pour les voir jouer durant les matchs et voir aussi les filles qui ne s’entraînent pas au sein du centre national d’entraînement de la Fédération. Ce poste au sein de la FFT est davantage un rôle d’accompagnatrice. Est-ce que celui d’entraîneur pourrait vous séduire par la suite ? Je suis membre du staff de Julien Benneteau lors de la Billie Jean King Cup mais ce n’est que quelques semaines dans l’année. Car qui dit entraîner, dit voyager et j’ai arrêté ma carrière pour ces raisons-là. J’ai un petit garçon qui vient d’avoir un an. Aujourd’hui, je ne suis pas prête à le faire mais à l’avenir pourquoi

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Perros-Guirec. Tennis : Victoria Mboko, l’espoir triomphal du Canada

La jeune Canadienne de 17 ans Victoria Mboko a remporté, ce mercredi 6 mars, l’Engie Open de Perros-Guirec, en dominant Gaëlle Desperrier avec beaucoup de talent (6-3, 6-3). Victoria Mboko remporte l’Engie Open de Perros-Guirec pour les 20 ans du tournoi. ©Jérémy Nédélec / Le Trégor À Perros-Guirec, il y a eu le sourire rayonnant, juvénile encore avec ses bagues, de Victoria Mboko. La Canadienne, 17 ans depuis août dernier, a décroché l’Engie Open, ce mercredi 6 mars. Mboko, la force tranquille Ni Gaëlle Desperrier, 27e joueuse française, ni la météo, qui a obligé la direction du tournoi à interrompre la finale une grosse heure à cause de gouttes d’eau fuitant du plafond de Kerabram et rendant de fait le terrain impraticable, n’ont empêché la tenniswoman de remporter le CNGT trégorrois ; 5 ans après sa première visite en Bretagne, lors d’un tournoi à Auray (Morbihan)… qu’elle n’avait pas gagné, tiens, confie, en anglais, la Torontoise.  À 3-2 à la reprise du match, Victoria Mboko a fait étalage de toute sa palette – frappes lourdes, service fort, bonne couverture du terrain – pour dépasser Desperrier, sans solutions et qui, malgré ce jeu pris sur le service de la Canadienne, cédait la première manche (6-3). Très calme, extériorisant de rares

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Engie Open à Perros-Guirec : Myrtille Georges, la vie d’après

Retirée du circuit depuis 2020, Myrtille Georges, désormais entraîneure et maman d’une petite Charlie, était de passage à Perros-Guirec où elle est tombée en quart de finale, mardi. Eliminée de l’Open Engie de Perros-Guirec, Myrtille Georges disputera, en fin de semaine, le tournoi de Maromme, en Normandie. (Photo Matthieu Huet) L’esprit de compétition est toujours là. Le poing serré. Le regard vers ses proches. Quelques mots doux à l’adresse de l’arbitre… « Même quand je jouerai en plus de 60 ans, je serai encore comme ça », plaisante Myrtille Georges qui, si elle n’est plus une tenniswoman professionnelle, n’a pas perdu ses habitudes. Tout comme son coup de droit, qui fait toujours des étincelles. Retirée du circuit international depuis l’automne 2020, l’ancienne 168e joueuse mondiale, 33 ans depuis décembre, était à Perros-Guirec, en ce début de semaine, pour disputer l’Engie Open. Victorieuse d’Alice Soulie, lundi soir, en huitième de finale, elle est tombée au tour suivant, mardi, en deux manches face à Mallaurie Noël, 36e joueuse française. Entraîneure et maman « Ça fait maintenant deux petites années que je rejoue un peu, raconte la native de Granville, désormais installée à Strasbourg. En fait, je dispute surtout les CNGT pendant les vacances. Je

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À Perros-Guirec, l’Engie Open chouchoute ses joueuses

Un cordeur au top L’Engie Open touche à sa fin ce mercredi. À partir de 16 h 30, les finalistes mettront un point final à cette 20e édition. Une édition qui aura été témoin de belles performances. Parmi les services apportés aux joueuses, la possibilité de faire corder leurs raquettes sur place. « Cela fait sept ans que nous venons corder durant trois jours sur le tournoi », explique Mickaël André, joueur de tennis à Ploumilliau et salarié de Décathlon. « C’est un service apprécié par les joueuses. Les variations de température mais également les temps de jeux influent sur le cordage. Chacune a sa propre tension », ajoute-t-il. Les valeurs du tournoi « Sur les trois jours de présence des joueuses numérotées, je corde une trentaine de raquettes. Cela demande de la précision, de la minutie mais aussi de la vitesse – environ quinze minutes par raquette. La tension oscille entre 21 et 25 kg, équivalente aux tennismen. Nous sommes quatre à être formés dans le magasin mais pour ce tournoi, je suis seul », conclut Mickaël André qui apprécie ce tournoi pour les valeurs qu’il transmet et son accueil par les organisateurs.

Tournoi ENGIE OPEN 2024 de Perros-Guirec : Gravouil, Payet et Mboko en quarts de finale

Mallaurie Noel la tenante du titre Le tableau final a débuté avec l’entrée des joueuses numérotées. Parmi elles, deux anciennes lauréates se sont qualifiées et sont toujours en lice pour décrocher un nouveau titre sur les courts de Perros-Guirec. Elles sont plusieurs favorites à espérer remporter un second titre dans les Côtes d’Armor.Ce lundi, deux d’entre elles faisaient leur entrée dans le tournoi avec les autres joueuses numérotées. Théo Gravouil, victorieuse en 2022, s’est défaite de Maneva Rakotomalala en trois sets et retrouvera Veronika Podrez au tour suivant. Pauline Payet et Victoria Mboko se hissent également en quart de finale après leurs victoires deux sets à zéro respectivement face à Esther Thebault et Irys Ekani. Enfin, victorieuse en 2016, Myrtille Georges affrontait Alice Soulie pour une place en quart de finale lundi soir et l’a finalement emporté. Les quarts de finale (à partir de 10h) ainsi que les demi-finales (à partir de 17h00) ont lieu ce mardi avant la finale de mercredi qui se tiendra sous les yeux de la marraine, Pauline Parmentier. Les quarts de finale à partir de 10h : Gaëlle Desperrier – Pauline Payet Veronika Podrez – Théo Gravouil Irina Ramialison – Victoria Mboko Mallaurie Nöel –

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À l’Engie open de Perros-Guirec, les ramasseurs de balles sont au taquet

Comme dans les plus grandes compétitions, l’Engie open fait appel à de jeunes ramasseurs de balles. Cette année ils sont quatorze, âgés de 8 à 14 ans, à s’être formés à l’exercice sous la houlette de Zoé Meurisse, Katell Darée et Iris Leblanc, trois « grandes » qui pratiquent depuis plusieurs années. « Ils seront facilement reconnaissables au sein du complexe puisqu’ils vont arborer un tee-shirt aux couleurs de Terre de Jeux 2024 », précise Manon Garry, coordinatrice sports de la Ville. « Cette année, nous avons pas mal de nouveaux avec une majorité de garçons dont certains ne sont pas licenciés au club mais qui ont leur parent, frère ou sœur au club », explique François-René Guéret, le juge arbitre en charge des ramasseurs de balles. Ils se sont entraînés le temps d’une matinée avec application pour acquérir la technique qui leur permet de servir au mieux les joueuses en fond de court ou au filet. Un rôle essentiel très apprécié des joueuses. Ils vont d’abord s’échauffer sur les huitièmes de finale avant de donner le meilleur d’eux-mêmes sur les autres phases finales.

À Perros-Guirec, L’Engie Open, une histoire de famille pour les Jannier

Baptiste, Marie et Manon Jannier sont frères et sœurs. À 20, 16 et 14 ans, chacun participe à sa façon à l’Engie Open qui se poursuit jusqu’à ce mercredi 6 mars, à Perros-Guirec. Vous êtes adhérents au Tennis Club municipal perrosien (TCMP) ? « Nous jouons tous les trois au tennis. J’ai commencé à 4 ans », précise Baptiste ; « moi, à 8 ans », déclare Marie et « à 6 ans », stipule Manon. Qu’est-ce qui vous séduit dans ce sport ? « C’est un sport calme, tout en nous permettant de chercher le dépassement de soi. Nous pouvons jouer seul ou en équipe. Il faut appréhender deux approches différentes. Nous avons presque plus de pression quand nous jouons en équipe car nous jouons pour le groupe et pas seulement pour nous » . Vous êtes engagés depuis longtemps comme bénévoles sur l’Engie Open ? « Nous avons commencé en 2017. J’ai débuté comme ramasseuse de balles tout comme ma sœur Manon », explique Marie. « Pour ma part, je n’ai jamais tenu le rôle de ramasseur de balles mais j’aide à monter et démonter les structures et j’ai déjà été juge de ligne. Cette année, nous avons

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